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Nous arrivons à Udaipur le dimanche 18 Janvier. Ville prisée par les étrangers, les petites rues de la vieille ville, aux alentours des centres d'intérêt regorgent de boutiques pour touristes et tout au long du parcours, les marchands essaient de nous vendre leurs babioles.
Le City Palace surplombe le lac Pichola. Avec une façade longue de 244 m et haute de 30,40 m, c'est le plus vaste palais du Rajasthan. Une partie du palais a été transformé en deux hôtels de luxe. Nous nous contentons d'une visite extérieure de la partie ouverte au public.




Les bâtiments furent édifiés par divers maharajas, mais l'ensemble garde une certaine uniformité. Les sept arches dans la cour intérieure commémorent les sept fois où les maharajas furent pesés ; leur poids en or ou en argent était alors distribué à la population.
Quand les pluies de mousson ont rempli le lac, l'ensemble qu'il forme avec le City Palace incite à un certain romantisme (parait-il). Cependant lors de notre passage, le lac est à moitié vide et ses berges pleines de détritus invitent peu à la réverie et à la flânerie.






Proche du City Palace, le Jagdish Temple, un temple indo-aryen fut édifié en 1651 et comporte une statue de pierre noire de Vishnu et de belles sculptures.


 

Nous sommes prêts à récupérer Boomerang en fin d'après-midi pour quitter la ville, quand nous reconnaissons le camping-car de Benoit et Amandine (rencontrés à Erzurum) garé dans la cour d'un hôtel. Contents de les retrouver, nous décidons de rester et campons à leurs côtés.
Le lendemain, nous flânons en ville, et profitons de faire laver notre linge et de mettre à jour notre site dans un des nombreux cyber cafés. C'est là que nous apprenons que notre gardien de maison à Mars la Tour s'est évaporé sans un mot d'explication.
Le soir, en compagnie de Benoit et Amandine, nous assistons à un spectacle de danses traditionnelles rajasthanies dans la cour d'un haveli (demeure traditionnelle).

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


Nous gagnons ensuite Mandu (Monde Perdu) dans le Madya Pradesh.
Cette forteresse fondée au Xe siècle, s'étend sur un plateau isolé de 20 kms ² entouré de ravins profonds. Des tombeaux, des temples, des mosquées et des palais, d'arcitecture afghane, sont disséminés sur le site et sont suffisamment bien préservés pour que l'on puisse s'imaginer la ville d'autrefois.
Seul bémol à la visite, un droit d'entrée exagéré est demandé à chaque édifice important avec un tarif 20 fois supérieur pour les étrangers (nous y reviendrons page 6).










Mandu est l'un des rares endroits en Inde où poussent des baobabs.


 

Francis, toi qui vois tout du haut de Google Earth, dis-nous ce que c'est cette drôle de bête.

 


Les gens du coin raffolent
des graines de baobabs.
 

 

2e chance pour le tour en tchuk-tchuk.
Trouvez Charlie !

 

 

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