[1] [2] [3]

Nous traversons le pays du Nord-Est au Sud-Ouest.
A Sukkur, notre point le plus au Sud, le thermomètre atteint les 47°C !








Grâce à nos coordonnées GPS, nous retrouvons notre ancien bivouac (près du cimetirère)
où nous avions semé la police dans le brouillard et
avions été tranquilles en décembre. Mais là, pas de brouillard...et au petit matin, nous avons de la visite.
On se croirait presque en Inde !









Nous arrivons ensuite au Bolan Pass, où la route serpente au fond d'une gorge et où nous avions eu droit à notre première escorte pour cause de zone sensible. Cette fois-ci, nous profitons à loisir du joli paysage et faisons même trempette dans la rivière.









Juste avant Quetta, nous sommes réveillés par la Police, qui nous garde tout le temps du petit déjeuner et qui nous laisse repartir seuls. Heureusement !

Après un passage rapide à Quetta pour quelques courses, nous entamons la traversée du désert du Baluchistan
où la route suit la frontière Afghane sur 600 kms.




On a retrouvé la montagne Paramount !


Ca ne se voit pas, mais il fait 40°C, et à côté de la machine il devait faire 50°C !!

A mi-chemin, nous nous arrêtons dans la petite ville de Dalbandin pour la nuit et retrouvons Alex et Marie ainsi que Uwe et Dani dans un petit hôtel où nous pouvons dormir dans nos véhicules garés dans le parking clos.
Nous y rencontrons d'autres voyageurs à moto, qui eux, entrent seulement au Pakistan.
C'est l'anniversaire de Ruben et Alex et Marie nous invitent pour le repas du soir dans le restaurant de l'hôtel.
Au menu : poulet pas cuit, frites froides et bière !
Durant la nuit, le générateur se met en route de 22h à 5h du matin, près de nous, nous empêchant de dormir.
Finalement, cette adresse n'est pas un bon plan, et nous préferons nos bivouacs tranquilles dans la nature avec les talibans, qui eux, nous laissent dormir.


Le lendemain, nous nous suivons avec Alex et Marie jusqu'au poste frontière et nous quittons ensemble le Pakistan le Mardi 28 Avril.




3173 kms parcourus en trois semaines et pas une seule escorte policière, ni de bivouac sous bonne garde dans l'enceinte d'un poste de police !

[1] [2] [3]